RARE Grand Croix de l'ORDRE de SAINTE AGATHE 1923'

RARE Grand Croix de l'ORDRE de SAINTE AGATHE de SAINT MARIN 1923 belle piece dans son ecrin d'origine splendides emaux voir scan bon ruban d'epoque piece splendide et trés decorative l'ensemble comprends le coffret la plaque le bijou et son echarpe la reduction et son rappel un peu d'histoire..... ORDRE de SAINTE AGATHE Cet Ordre a été créé le 5 juin 1923 en l'honneur de Sainte - Agathe, protectrice de la République, pour compléter l'Ordre de Saint - Marin (autre protecteur de la République), qui du fait de la 1° Guerre Mondiale s'était trouvé trop utilisé. Cet Ordre est destiné ï  récompenser les services exceptionnels rendus aux oeuvres de bienfaisance et de charité. Il comporte cinq classes et peut être décerné aussi bien aux civils qu'aux militaires et aux citoyens de la République qu'aux étrangers. '

DEC1301 COMMANDEUR LEGION D'HONNEUR V° REPUBLIQUE'

En argent doré (vermeil), centres en 3 parties, filets sur les bords, fabrication privée, très bel état. Qui vive ? FRANCE ! Pay me securely with any major credit card through PayPal! Sellers: Delight buyers. Get your own map of past buyers.'

RARE commandeur de l' ORDRE DE DANILO MONTENEGRO 1853'

RARE commandeur de l' ORDRE DE DANILO MONTENEGRO 1853 belle piece en vermeil attache et centre en 0R splendides emaux voir scan bon ruban d'epoque piece splendide et trés decorative un peu d'histoire..... ORDRE DE DANILO (Ordre du Mérite pour l'Indépendance) Cet Ordre fut créé le 5 mai 1853 (23 avril) par le Prince régnant Danilo I° et était destiné ï  récompenser les services exceptionnels civils et militaires, rendus ï  la principauté et ï  son souverain, ï  l'humanité, aux inventions, travaux et découvertes d'intérêt général dans l'industrie, les arts et les sciences. Cet Ordre fut pratiquement le seul de cette Principauté qui fut érigée en Royaume en 1910 par le Roi Nicolas I°, premier et dernier Roi du Monténégro. En effet, ce Royaume disparut en 1918, lorsque le Monténégro fut absorbé par le nouveau Royaume de Yougoslavie. Le Montenegro ressuscita en 2007 après sa séparation d'avec la Serbie. Le médaillon central comporte, ï  l'avers, les initiales du Prince Danilo entourées du nom de l'Ordre en cyrillique ; le revers porte la date de création de l'Ordre. L'Ordre est divisé en cinq classes, les quatre premières ayant une croix avec une couronne. L'Ordre fut attribué par le Roi Nicolas I° aux officiers et soldats français qui servirent aux côtés et parfois au sein même des troupes monténégrines au début de la guerre de 1914 '€" 1918. Ruban blanc, bordé d'une raie rouge de chaque côté '

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RARE MASQUE MORTUAIRE DE L'EMPEREUR NAPOLEON en bronze'

RARE MASQUE MORTUAIRE DE L'EMPEREUR NAPOLEON 1er en bronze SPLENDIDE piece en bronze 10 CMS X 5 CMS HAUTEUR 5,5 CMS POIDS 440 GRAMMES EPOQUE 19éme RETOUR DES CENDRES piece splendide et trés decorative un peu d'histoire ..... Le retour des Cendres n 1840, le roi Louis-Philippe obtient de l'Angleterre la restitution des cendres de l'Empereur Napoléon 1er, décédé le 5 mai 1821 ï  Sainte-Hélène où il repose depuis. La mère de l'Empereur avait tenté, en vain, la même démarche, dès l'annonce de son décès, mais l'Angleterre resta sourde aux supplications de la vieille dame. (Voir Sainte Hélène).Le 12 Mai 1840, le ministre de l'intérieur, M. de Rémusat monte ï  la tribune de l'Assemblée Nationale et y fait la déclaration suivante :- Messieurs, le roi a ordonné ï  S.A.R. Monseigneur le prince de Joinville de se rendre avec sa frégate ï  l'ïle de Sainte-Hélène pour y recueillir les restes mortels de l'Empereur Napoléon.Les députés, tout d'abord médusés par l'annonce et après avoir repris leur souffle, manifestèrent leur satisfaction en applaudissant chaleureusement le ministre. L'ombre du grand homme planait ï  nouveau sur l'Assemblée.- Désormais, continua M. de Rémusat, la France, et la France seule, possédera tout ce qui reste de Napoléon. Son tombeau, comme sa mémoire, n'appartiendra ï  personne qu'ï  son pays. La monarchie de 1830 est, en effet, l'unique et légitime héritière de tous les souverains dont la France s'enorgueillit. Il lui appartenait sans doute, ï  cette monarchie, qui la première, a rallié toutes les forces et concilié tous les voeux de la Révolution française, d'élever et d'honorer sans crainte la statue et la tombe d'un héros populaire.Vingt-cinq années, après que les nations de l'Europe l'eurent mis ï  l'écart, Napoléon 1er allait enfin retrouver cette terre de France et ce peuple qu'il avait tant aimé et cela, par le fait d'un roi qui, rappelons-le, avait rétabli le drapeau tricolore lors de son avènement en 1830, après les 3 journées de révolte parisienne (27, 28 et 29 Juillet, appelées les Trois Glorieuses) qui avaient entraïné la chute du roi Charles X. Louis-Philippe 1er chargea donc son quatrième fils, François, prince de Joinville, de faire route sur Sainte-Hélène, accompagné d'une Mission dont les membres ont été triés sur le volet. Cette Mission sera dirigée par le comte Philippe de Rohan-Chabot(1), 25 ans, diplômate et dont le père combattit Napoléon dans les rangs anglais. Diplomatie oblige,il sera nommé pour la circonstance, commissaire du Gouvernement. Il fallait un prêtre, on choisira l'abbé Coquereau. Quant au médecin, on fera appel au Dr Guillard.Font également partie du voyage, quelques uns de ceux qui avaient accompagné l'Empereur dans son exil : le grand-maréchal Bertrand et son fils Arthur, né ï  Sainte-Hélène, Gourgaud le brave, baron d'Empire et aujourd'hui général de division, commandant l'artillerie de la place de Paris, Emmanuel de Las Cases qui remplace son père, auteur du célèbre Mémorial, devenu aveugle et infirme. Les fidèles serviteurs de l'Empereur, n'ont pas été oubliés. Marchand, Saint-Denis, Pierron, Noverraz et Archambault sont lï . On remarque néanmoins une absence de taille : celle du comte de Montholon, fidèle d'entre les fidèles. Il était resté auprès de l'Empereur jusqu'au dernier soupir de celui-ci. Pour l'heure, il se trouve en Angleterre, aux côtés du neveu de Napoléon, le futur Napoléon III et s'active ï  mettre au point la fameuse équipée de Boulogne dont on sait qu'elle se soldera par un échec et les conduira tous deux en prison. La restauration de l'Empire devra encore patienter quelques années, bon sang ne saurait mentir !Une somme d'un million de Francs-or fut débloquée et remise au jeune comte de Rohan-Chabot afin de pourvoir aux frais de l'expédition. 'est ainsi que le 7 Juillet suivant, la frégate La belle-Poule et la corvette La Favorite levèrent l'ancre de Toulon pour l'ïle de Sainte-Hélène où elles accostèrent le 8 Octobre. Un protocole rigoureux avait été défini au préalable par les autorités françaises et anglaises et chacun s'employa ï  n'en point déroger. Le 9, toute la troupe française rend visite au gouverneur britannique de l'ïle, lord-général Middlemore qui leur apprend que "les restes mortels de l'Empereur Napoléon leur seront remis le jeudi 15 octobre."A la suite de cette courte entrevue, la Mission se rend dans la vallée des géraniums où se trouve la sépulture de l'Empereur. Bientôt, la tombe s'offre ï  leurs yeux, gardée par un vieux sergent anglais. Une grille de fer forgé entoure la dalle épaisse surplombant le caveau. Arrivé ï  proximité, l'abbé coquereau s'agenouille, les serviteurs en font autant. Le prince de Joinville ôte son couvre-chef. Chacun se laisse gagner par l'émotion et les souvenirs. A travers les yeux embués du baron Gourgaud, c'est toute l'épopée qui réapparaït, avec son cortège de batailles, de victoires, de gloire, de distinctions, mais aussi de trahisons. Se souvient-il ï  cet instant, que vingt-six ans plus tôt, pendant la Campagne de France, lors de la bataille de Brienne, il sauva la vie de l'Empereur en abattant un cosaque qui tentait de le transpercer de sa lance ? Un grand calme règne. Le silence est simplement troublé par quelques clapotis en provenance de la source située ï  quelques pas et où l'Empereur aimait ï  s'y désaltérer. Après quelques minutes de recueillement, la mission se dirige sur le plateau de Longwood, lï  où se situe la maison qu'avait occupé l'Empereur jusqu'ï  sa mort. Un spectacle affligeant les y attend. En effet, le jardin qu'avait façonné l'Empereur a disparu. Des moutons y paissent. La maison a été transformée en ferme et ses mûrs sont lézardés. Les fenêtres sont sans vitres et claquent au vent. A l'intérieur, la désolation est totale : on a entreposé du fumier ï  même le plancher, lui-même rongé par la pourriture. En pénétrant dans le petit salon, où l'empereur rendit l''me, se trouve un moulin ï  blé, le plafond a été défoncé et les portes ont disparu. Son cabinet et sa chambre ont été aménagés ...en écurie. L'indignation est générale. Les anciens compagnons pleurent... - Quelle honte ! s'écrie le grand-maréchal Bertrand, il est temps de sortir l'Empereur de cette ïle maudite !C'est dans le froid et sous une pluie battante que les travaux d'exhumation commencent, peu après minuit le 15 octobre, ï  la lumière des lampes ï  huile. Le prince de Joinville a jugé plus convenable de rester ï  quai avec son état-major, afin d'y accueillir le cercueil de l'Empereur. Toute la troupe française et anglaise est présente. Plusieurs tentes sont dressées ï  proximité du tombeau. La plus grande étant destinée ï  recevoir le cercueil de l'Empereur. L'Angleterre, craignant sans doute qu'une expédition hardie ne vinsse voler le corps du proscrit, avait, dix-neuf années plus tôt, rendu la tombe quasiment inviolable de telle sorte qu'il faut consentir plus de 9 heures 30 de travaux pénibles avant que n'apparaisse enfin le cercueil impérial. L'abbé Coquereau, revêtu des habits liturgiques, portant la croix, se porte ï  la tête de la tombe, suivis par les enfants de choeur. Tous prient... Dix soldats anglais, aidés de cordages, parviennent ï  extraire le lourd cercueil d'acajou, épais de deux centimètres qui est ensuite porté sous la grande tente où on le scie. Apparaït alors, celui de plomb que l'on place dans la bière d'ébène apportée par la mission et qu'un ex-officier de la Grande Armée, reconverti en ébéniste, avait fabriqué avec tout l'amour que l'on devine. Le cercueil de plomb est ouvert ï  son tour et fait place ï  une caisse de bois renfermant le dernier cercueil de fer blanc soudé. Il est presque 1 heure de l'après-midi lorsque l'on soulève le couvercle.L'assistance ne forme plus alors qu'un seul coeur palpitant d'émotion, tel un jeune tambour s'avançant ï  l'ennemi. Le capitonnage de satin blanc s'est affaissé sur le corps et en épouse la forme. Sitôt ôté, l'Empereur apparaït. Le Grand-Maréchal Bertrand ne peut contenir un brusque écart provoqué par cette vision soudaine et magnifique du grand homme. Des sanglots s'échappent de la poitrine de ses vieux compagnons. Des larmes roulent sur les joues... C'est bien lui ! c'est bien Napoléon le Grand, lï , devant eux ! La mort a épargné son corps. Son visage, quoique légèrement émacié, a gardé les traits du fougueux Bonaparte. La peau des membres a été entièrement préservée. Son uniforme des Chasseurs de la Garde ainsi que le Grand Cordon de la légion d'honneur ont gardé leur teinte d'origine. Les ongles ont poussé. Seules les coutures des bottes ont cédé et laissent apparaïtre quelques orteils. On découvre entre les jambes, son chapeau et les deux vases d'argent remplis de vinaigre, dans lesquels le Dr Antommarchi, dix-neuf années auparavant, avait placé le coeur et l'estomac.Le Dr Guillard craint que l'air n'active la décomposition du corps. On s'empresse alors de tout refermer. Les différentes caisses sont déposéees dans un nouveau cercueil de plomb comportant une plaque gravée en lettres d'or de l'épitaphe suivante : « Napoléon, empereur et roi, mort ï  Sainte-Hélène le V mai MDCCCXXI ». On place le tout, dans le sarcophage d'ébène apporté de France que l'on recouvre délicatement d'une étoffe de velours violet, brodée d'aigles d'or, parsemée d'abeilles et d'étoiles. Une croix d'argent est dessinée en son centre. Après une dernière bénédiction par l'abbé, le sarcophage qui pèse près de 1200 kg, est transporté par quarante trois artilleurs anglais jusqu'au char funèbre, tiré par quatre chevaux harnachés de noir. Il est alors 3 heures 30. La descente vers le port de Jamestown commence. La pluie ne cesse de tomber. Près de cinq cent soldats et miliciens de Sainte-Hélène se sont portés ï  l'avant du cortège qui s'élance majestueusement aux sons des tambours et des trompettes. Derrière eux, l'abbé coquereau, tenant la croix levée vers le ciel, est entouré des enfants de choeur. Derrière le char funèbre se trouvent les membres de la Mission, compagnons et serviteurs. Les autorités civiles et militaires ferment la marche. Au loin, le canon gronde de minute en minute. Après vingt-cinq années, l'Angleterre rend les honneurs ï  son pire ennemi. Après la cérémonie officielle de remise du corps de l'Empereur par les autorités anglaises aux autorités françaises sur le quai du port, le cercueil est déposé dans une chaloupe et vogue vers La Belle-Poule. A 5 heures 45, on le hisse ï  bord de la frégate où une chapelle ardente est dressée dans l'entrepont. Enfin ! l'Empereur est de nouveau sous la protection du drapeau français. Le 15 octobre au soir, le cercueil rejoint La Belle-PouleD'après IsabeyMusée national du ch'teau de Versailles et des Trianons e 18 octobre, les batiments français lèvent l'ancre, salués par le grondement du canon des forts de Sainte-Hélène, en guise d'adieux. Destination : la France. La traversée se déroule sans incident, malgré des rumeurs d'entrée en guerre de la France contre l'Angleterre. Décidément ! Finalement, la diplomatie l'emporte et c'est sans difficultés que la flotille accoste dans le port de Cherbourg le 30 novembre, accueillie cette fois encore, au son du canon. Le cercueil, après une nouvelle cérémonie funèbre ï  bord, ordonnée par le gouvernement, est transféré sur le vapeur La Normandie chargé de gagner Le Havre. Il remonte la Seine et un peu en aval de Rouen, cède la place ï  La Dorade No 3. Depuis le départ du Havre, aux abords des villages traversés par le fleuve, les habitants envahissent les berges, malgré un hiver rigoureux faisant descendre le thermomètre jusqu'ï  parfois -15 degrés. Les cloches des églises bourdonnent. Toute la population est présente, prêtres, hommes et femmes de tous 'ges, enfants, soldats du roi, et bien sûr, les Anciens de la Grande Armée qui pleurent au passage de leur Empereur. Certains sont lï  depuis plusieurs jours et malgré la sévérité du froid, ont attendu le passage de l'embarcation, installés dans des bivouacs improvisés d'où s'échappe encore quelque fumée blanch'tre. Tous ont revêtu leur vieil uniforme rapé par les ans. Peu importe ! Ajourd'hui, c'est le soleil d'Austerlitz qui illumine leur coeur et les transit d'émotion, bien plus que de froid. Le comte Pilippe de Rohan-Chabot décrit dans ses mémoires cette incroyable atmosphère : "Vision hallucinante ! Au petit matin, les clairons des vieilles moustaches nous réveillent et si la volonté de Dieu était de ressusciter ï  cet instant Napoléon, l'Empereur se croirait ï  la veille de l'une de ses batailles en Russie". Au passage de La Dorade No 3, des cris de "Vive l'Empereur !" sont lancés. Les uns jettent des bouquets de fleurs tandis que d'autres lancent des couronnes de lauriers. Chacun semble dire : - Sire, réveillez-vous, le peuple vous réclame !- e pont de Neuilly est atteint le 14 décembre. Le soir, le maréchal Soult, président du Conseil et M. de Las Cases père, montent ï  bord et se recueillent devant la dépouille mortelle de l'illustre défunt. Arrivée des cendres de Napoléon ï  Courbevoie, le 14 décembre 1840Henri-Félix-Emmanuel PhilippoteauxMusée national du ch'teau de Versailles et des Trianons Le lendemain matin, le temps est glacial, mais ensoleillé. Le thermomètre affiche -8 degrés. Trente-six marins de La Belle-Poule débarquent le sarcophage et le hissent ï  bord d'un char monumental de dix mètres de haut et cinq de large, orné de quatorze statues représentant les victoires les plus éclatantes de l'Empire. L'attelage se compose de seize chevaux couverts de velours violet aux armes de l'Empire. En tête, les valets de pied, ï  qui on a permis d'endosser la livrée impériale, attendent le signal du départ. Les départements français sont représentés par autant de drapeaux tenus fièrement par quatre vingt-sept sous-officiers. Les 300 marins de La Belle Poule, en habit d'apparat, entourent le char sur deux files. Le prince de Joinville, en grand uniforme de capitaine de vaisseau, se tient fièrement sur son cheval et donne le signal du départ alors qu'au loin, sont tirés vingt et un coups de canon.Il est 10 heures 30, quand le char commence sa progression triomphale vers Paris. Une foule impressionnante s'est massée sur l'ensemble du parcours qui mène aux Invalides où il a été décidé que reposerait désormais l'Empereur Napoléon. Les "Vive l'Empereur !", "Vive le Grand Napoléon !" ponctuent la marche funèbre. L'important service d'ordre est souvent débordé par les admirateurs dont certains parviennent ï  baiser le crêpe du char. On passe bientôt sous l'Arc de triomphe dont l'élévation avait été décidé en 1806 par l'Empereur, ï  la gloire de l'armée et dont le roi Louis-Philippe avait présidé l'inauguration seulement quatre années plus tôt. Le cortège descend les Champs-ElyséesPhoto Flammarion D'après un dessin de Ferogio et Girard Vient ensuite la descente des Champs-Elysées, décorés d'aigles impériales. De nombreux parisiens s'agenouillent au passage du convoi, font le signe de croix, d'autres pleurent... Vers 2 heures 30, le cortège atteint enfin les Invalides. Le cercueil est porté et déposé sur un catafalque, au centre de l'église Saint-Louis. Alors, les premières mesures du requiem de Mozart retentissent. Le roi et toute sa famille sont lï  ainsi que les plus hautes autorités civiles, militaires et ecclésiastiques. A l'invitatation du roi, le Grand-Maréchal Bertrand dépose sur le cercueil la glorieuse épée de l'Empereur et le baron Gourgaud, le chapeau déjï  entré dans la légende. La cérémonie s'achève vers 3 heures. C'est ï  ce moment précis, raconte l'historien André Castelot, dans son superbe Napoléon Bonaparte, que le Maréchal Moncey, gouverneur des Invalides depuis 1833, alors 'gé de quatre vingt-six ans aurait déclaré :- A présent, rentrons mourir r '

RARE commandeur de l' ORDRE de TAKOVO de SERBIE 1878'

RARE commandeur de l' ORDRE de TAKOVO de SERBIE 1878 belle piece en vermeil splendides emaux voir scan bon ruban d'epoque piece splendide et trés decorative un peu d'histoire..... ORDRE de TAKOVO Cet Ordre a été institué en 1865 par le Prince MICHEL et complété le 15 février 1878 par le Prince MILAN. Il est destiné ï  récompenser les services rendus ï  la cause de l'Indépendance et de l'Emancipation. L'Ordre comprend 5 classes : Grand - Croix, Grand - Officier, Commandeur, Officier et Chevalier. Ruban rouge liseré de blanc et bleu pour les civils ; ruban rouge pour les militaires, la croix est alors surmontée de glaives. '

RARE MASQUE MORTUAIRE DE L'EMPEREUR NAPOLEON en bronze'

RARE MASQUE MORTUAIRE DE L'EMPEREUR NAPOLEON 1er en bronze SPLENDIDE piece en bronze 10 CMS X 5 CMS HAUTEUR 5,5 CMS POIDS 440 GRAMMES EPOQUE 19éme RETOUR DES CENDRES piece splendide et trés decorative un peu d'histoire ..... Le retour des Cendres n 1840, le roi Louis-Philippe obtient de l'Angleterre la restitution des cendres de l'Empereur Napoléon 1er, décédé le 5 mai 1821 ï  Sainte-Hélène où il repose depuis. La mère de l'Empereur avait tenté, en vain, la même démarche, dès l'annonce de son décès, mais l'Angleterre resta sourde aux supplications de la vieille dame. (Voir Sainte Hélène).Le 12 Mai 1840, le ministre de l'intérieur, M. de Rémusat monte ï  la tribune de l'Assemblée Nationale et y fait la déclaration suivante :- Messieurs, le roi a ordonné ï  S.A.R. Monseigneur le prince de Joinville de se rendre avec sa frégate ï  l'ïle de Sainte-Hélène pour y recueillir les restes mortels de l'Empereur Napoléon.Les députés, tout d'abord médusés par l'annonce et après avoir repris leur souffle, manifestèrent leur satisfaction en applaudissant chaleureusement le ministre. L'ombre du grand homme planait ï  nouveau sur l'Assemblée.- Désormais, continua M. de Rémusat, la France, et la France seule, possédera tout ce qui reste de Napoléon. Son tombeau, comme sa mémoire, n'appartiendra ï  personne qu'ï  son pays. La monarchie de 1830 est, en effet, l'unique et légitime héritière de tous les souverains dont la France s'enorgueillit. Il lui appartenait sans doute, ï  cette monarchie, qui la première, a rallié toutes les forces et concilié tous les voeux de la Révolution française, d'élever et d'honorer sans crainte la statue et la tombe d'un héros populaire.Vingt-cinq années, après que les nations de l'Europe l'eurent mis ï  l'écart, Napoléon 1er allait enfin retrouver cette terre de France et ce peuple qu'il avait tant aimé et cela, par le fait d'un roi qui, rappelons-le, avait rétabli le drapeau tricolore lors de son avènement en 1830, après les 3 journées de révolte parisienne (27, 28 et 29 Juillet, appelées les Trois Glorieuses) qui avaient entraïné la chute du roi Charles X. Louis-Philippe 1er chargea donc son quatrième fils, François, prince de Joinville, de faire route sur Sainte-Hélène, accompagné d'une Mission dont les membres ont été triés sur le volet. Cette Mission sera dirigée par le comte Philippe de Rohan-Chabot(1), 25 ans, diplômate et dont le père combattit Napoléon dans les rangs anglais. Diplomatie oblige,il sera nommé pour la circonstance, commissaire du Gouvernement. Il fallait un prêtre, on choisira l'abbé Coquereau. Quant au médecin, on fera appel au Dr Guillard.Font également partie du voyage, quelques uns de ceux qui avaient accompagné l'Empereur dans son exil : le grand-maréchal Bertrand et son fils Arthur, né ï  Sainte-Hélène, Gourgaud le brave, baron d'Empire et aujourd'hui général de division, commandant l'artillerie de la place de Paris, Emmanuel de Las Cases qui remplace son père, auteur du célèbre Mémorial, devenu aveugle et infirme. Les fidèles serviteurs de l'Empereur, n'ont pas été oubliés. Marchand, Saint-Denis, Pierron, Noverraz et Archambault sont lï . On remarque néanmoins une absence de taille : celle du comte de Montholon, fidèle d'entre les fidèles. Il était resté auprès de l'Empereur jusqu'au dernier soupir de celui-ci. Pour l'heure, il se trouve en Angleterre, aux côtés du neveu de Napoléon, le futur Napoléon III et s'active ï  mettre au point la fameuse équipée de Boulogne dont on sait qu'elle se soldera par un échec et les conduira tous deux en prison. La restauration de l'Empire devra encore patienter quelques années, bon sang ne saurait mentir !Une somme d'un million de Francs-or fut débloquée et remise au jeune comte de Rohan-Chabot afin de pourvoir aux frais de l'expédition. 'est ainsi que le 7 Juillet suivant, la frégate La belle-Poule et la corvette La Favorite levèrent l'ancre de Toulon pour l'ïle de Sainte-Hélène où elles accostèrent le 8 Octobre. Un protocole rigoureux avait été défini au préalable par les autorités françaises et anglaises et chacun s'employa ï  n'en point déroger. Le 9, toute la troupe française rend visite au gouverneur britannique de l'ïle, lord-général Middlemore qui leur apprend que "les restes mortels de l'Empereur Napoléon leur seront remis le jeudi 15 octobre."A la suite de cette courte entrevue, la Mission se rend dans la vallée des géraniums où se trouve la sépulture de l'Empereur. Bientôt, la tombe s'offre ï  leurs yeux, gardée par un vieux sergent anglais. Une grille de fer forgé entoure la dalle épaisse surplombant le caveau. Arrivé ï  proximité, l'abbé coquereau s'agenouille, les serviteurs en font autant. Le prince de Joinville ôte son couvre-chef. Chacun se laisse gagner par l'émotion et les souvenirs. A travers les yeux embués du baron Gourgaud, c'est toute l'épopée qui réapparaït, avec son cortège de batailles, de victoires, de gloire, de distinctions, mais aussi de trahisons. Se souvient-il ï  cet instant, que vingt-six ans plus tôt, pendant la Campagne de France, lors de la bataille de Brienne, il sauva la vie de l'Empereur en abattant un cosaque qui tentait de le transpercer de sa lance ? Un grand calme règne. Le silence est simplement troublé par quelques clapotis en provenance de la source située ï  quelques pas et où l'Empereur aimait ï  s'y désaltérer. Après quelques minutes de recueillement, la mission se dirige sur le plateau de Longwood, lï  où se situe la maison qu'avait occupé l'Empereur jusqu'ï  sa mort. Un spectacle affligeant les y attend. En effet, le jardin qu'avait façonné l'Empereur a disparu. Des moutons y paissent. La maison a été transformée en ferme et ses mûrs sont lézardés. Les fenêtres sont sans vitres et claquent au vent. A l'intérieur, la désolation est totale : on a entreposé du fumier ï  même le plancher, lui-même rongé par la pourriture. En pénétrant dans le petit salon, où l'empereur rendit l''me, se trouve un moulin ï  blé, le plafond a été défoncé et les portes ont disparu. Son cabinet et sa chambre ont été aménagés ...en écurie. L'indignation est générale. Les anciens compagnons pleurent... - Quelle honte ! s'écrie le grand-maréchal Bertrand, il est temps de sortir l'Empereur de cette ïle maudite !C'est dans le froid et sous une pluie battante que les travaux d'exhumation commencent, peu après minuit le 15 octobre, ï  la lumière des lampes ï  huile. Le prince de Joinville a jugé plus convenable de rester ï  quai avec son état-major, afin d'y accueillir le cercueil de l'Empereur. Toute la troupe française et anglaise est présente. Plusieurs tentes sont dressées ï  proximité du tombeau. La plus grande étant destinée ï  recevoir le cercueil de l'Empereur. L'Angleterre, craignant sans doute qu'une expédition hardie ne vinsse voler le corps du proscrit, avait, dix-neuf années plus tôt, rendu la tombe quasiment inviolable de telle sorte qu'il faut consentir plus de 9 heures 30 de travaux pénibles avant que n'apparaisse enfin le cercueil impérial. L'abbé Coquereau, revêtu des habits liturgiques, portant la croix, se porte ï  la tête de la tombe, suivis par les enfants de choeur. Tous prient... Dix soldats anglais, aidés de cordages, parviennent ï  extraire le lourd cercueil d'acajou, épais de deux centimètres qui est ensuite porté sous la grande tente où on le scie. Apparaït alors, celui de plomb que l'on place dans la bière d'ébène apportée par la mission et qu'un ex-officier de la Grande Armée, reconverti en ébéniste, avait fabriqué avec tout l'amour que l'on devine. Le cercueil de plomb est ouvert ï  son tour et fait place ï  une caisse de bois renfermant le dernier cercueil de fer blanc soudé. Il est presque 1 heure de l'après-midi lorsque l'on soulève le couvercle.L'assistance ne forme plus alors qu'un seul coeur palpitant d'émotion, tel un jeune tambour s'avançant ï  l'ennemi. Le capitonnage de satin blanc s'est affaissé sur le corps et en épouse la forme. Sitôt ôté, l'Empereur apparaït. Le Grand-Maréchal Bertrand ne peut contenir un brusque écart provoqué par cette vision soudaine et magnifique du grand homme. Des sanglots s'échappent de la poitrine de ses vieux compagnons. Des larmes roulent sur les joues... C'est bien lui ! c'est bien Napoléon le Grand, lï , devant eux ! La mort a épargné son corps. Son visage, quoique légèrement émacié, a gardé les traits du fougueux Bonaparte. La peau des membres a été entièrement préservée. Son uniforme des Chasseurs de la Garde ainsi que le Grand Cordon de la légion d'honneur ont gardé leur teinte d'origine. Les ongles ont poussé. Seules les coutures des bottes ont cédé et laissent apparaïtre quelques orteils. On découvre entre les jambes, son chapeau et les deux vases d'argent remplis de vinaigre, dans lesquels le Dr Antommarchi, dix-neuf années auparavant, avait placé le coeur et l'estomac.Le Dr Guillard craint que l'air n'active la décomposition du corps. On s'empresse alors de tout refermer. Les différentes caisses sont déposéees dans un nouveau cercueil de plomb comportant une plaque gravée en lettres d'or de l'épitaphe suivante : « Napoléon, empereur et roi, mort ï  Sainte-Hélène le V mai MDCCCXXI ». On place le tout, dans le sarcophage d'ébène apporté de France que l'on recouvre délicatement d'une étoffe de velours violet, brodée d'aigles d'or, parsemée d'abeilles et d'étoiles. Une croix d'argent est dessinée en son centre. Après une dernière bénédiction par l'abbé, le sarcophage qui pèse près de 1200 kg, est transporté par quarante trois artilleurs anglais jusqu'au char funèbre, tiré par quatre chevaux harnachés de noir. Il est alors 3 heures 30. La descente vers le port de Jamestown commence. La pluie ne cesse de tomber. Près de cinq cent soldats et miliciens de Sainte-Hélène se sont portés ï  l'avant du cortège qui s'élance majestueusement aux sons des tambours et des trompettes. Derrière eux, l'abbé coquereau, tenant la croix levée vers le ciel, est entouré des enfants de choeur. Derrière le char funèbre se trouvent les membres de la Mission, compagnons et serviteurs. Les autorités civiles et militaires ferment la marche. Au loin, le canon gronde de minute en minute. Après vingt-cinq années, l'Angleterre rend les honneurs ï  son pire ennemi. Après la cérémonie officielle de remise du corps de l'Empereur par les autorités anglaises aux autorités françaises sur le quai du port, le cercueil est déposé dans une chaloupe et vogue vers La Belle-Poule. A 5 heures 45, on le hisse ï  bord de la frégate où une chapelle ardente est dressée dans l'entrepont. Enfin ! l'Empereur est de nouveau sous la protection du drapeau français. Le 15 octobre au soir, le cercueil rejoint La Belle-PouleD'après IsabeyMusée national du ch'teau de Versailles et des Trianons e 18 octobre, les batiments français lèvent l'ancre, salués par le grondement du canon des forts de Sainte-Hélène, en guise d'adieux. Destination : la France. La traversée se déroule sans incident, malgré des rumeurs d'entrée en guerre de la France contre l'Angleterre. Décidément ! Finalement, la diplomatie l'emporte et c'est sans difficultés que la flotille accoste dans le port de Cherbourg le 30 novembre, accueillie cette fois encore, au son du canon. Le cercueil, après une nouvelle cérémonie funèbre ï  bord, ordonnée par le gouvernement, est transféré sur le vapeur La Normandie chargé de gagner Le Havre. Il remonte la Seine et un peu en aval de Rouen, cède la place ï  La Dorade No 3. Depuis le départ du Havre, aux abords des villages traversés par le fleuve, les habitants envahissent les berges, malgré un hiver rigoureux faisant descendre le thermomètre jusqu'ï  parfois -15 degrés. Les cloches des églises bourdonnent. Toute la population est présente, prêtres, hommes et femmes de tous 'ges, enfants, soldats du roi, et bien sûr, les Anciens de la Grande Armée qui pleurent au passage de leur Empereur. Certains sont lï  depuis plusieurs jours et malgré la sévérité du froid, ont attendu le passage de l'embarcation, installés dans des bivouacs improvisés d'où s'échappe encore quelque fumée blanch'tre. Tous ont revêtu leur vieil uniforme rapé par les ans. Peu importe ! Ajourd'hui, c'est le soleil d'Austerlitz qui illumine leur coeur et les transit d'émotion, bien plus que de froid. Le comte Pilippe de Rohan-Chabot décrit dans ses mémoires cette incroyable atmosphère : "Vision hallucinante ! Au petit matin, les clairons des vieilles moustaches nous réveillent et si la volonté de Dieu était de ressusciter ï  cet instant Napoléon, l'Empereur se croirait ï  la veille de l'une de ses batailles en Russie". Au passage de La Dorade No 3, des cris de "Vive l'Empereur !" sont lancés. Les uns jettent des bouquets de fleurs tandis que d'autres lancent des couronnes de lauriers. Chacun semble dire : - Sire, réveillez-vous, le peuple vous réclame !- e pont de Neuilly est atteint le 14 décembre. Le soir, le maréchal Soult, président du Conseil et M. de Las Cases père, montent ï  bord et se recueillent devant la dépouille mortelle de l'illustre défunt. Arrivée des cendres de Napoléon ï  Courbevoie, le 14 décembre 1840Henri-Félix-Emmanuel PhilippoteauxMusée national du ch'teau de Versailles et des Trianons Le lendemain matin, le temps est glacial, mais ensoleillé. Le thermomètre affiche -8 degrés. Trente-six marins de La Belle-Poule débarquent le sarcophage et le hissent ï  bord d'un char monumental de dix mètres de haut et cinq de large, orné de quatorze statues représentant les victoires les plus éclatantes de l'Empire. L'attelage se compose de seize chevaux couverts de velours violet aux armes de l'Empire. En tête, les valets de pied, ï  qui on a permis d'endosser la livrée impériale, attendent le signal du départ. Les départements français sont représentés par autant de drapeaux tenus fièrement par quatre vingt-sept sous-officiers. Les 300 marins de La Belle Poule, en habit d'apparat, entourent le char sur deux files. Le prince de Joinville, en grand uniforme de capitaine de vaisseau, se tient fièrement sur son cheval et donne le signal du départ alors qu'au loin, sont tirés vingt et un coups de canon.Il est 10 heures 30, quand le char commence sa progression triomphale vers Paris. Une foule impressionnante s'est massée sur l'ensemble du parcours qui mène aux Invalides où il a été décidé que reposerait désormais l'Empereur Napoléon. Les "Vive l'Empereur !", "Vive le Grand Napoléon !" ponctuent la marche funèbre. L'important service d'ordre est souvent débordé par les admirateurs dont certains parviennent ï  baiser le crêpe du char. On passe bientôt sous l'Arc de triomphe dont l'élévation avait été décidé en 1806 par l'Empereur, ï  la gloire de l'armée et dont le roi Louis-Philippe avait présidé l'inauguration seulement quatre années plus tôt. Le cortège descend les Champs-ElyséesPhoto Flammarion D'après un dessin de Ferogio et Girard Vient ensuite la descente des Champs-Elysées, décorés d'aigles impériales. De nombreux parisiens s'agenouillent au passage du convoi, font le signe de croix, d'autres pleurent... Vers 2 heures 30, le cortège atteint enfin les Invalides. Le cercueil est porté et déposé sur un catafalque, au centre de l'église Saint-Louis. Alors, les premières mesures du requiem de Mozart retentissent. Le roi et toute sa famille sont lï  ainsi que les plus hautes autorités civiles, militaires et ecclésiastiques. A l'invitatation du roi, le Grand-Maréchal Bertrand dépose sur le cercueil la glorieuse épée de l'Empereur et le baron Gourgaud, le chapeau déjï  entré dans la légende. La cérémonie s'achève vers 3 heures. C'est ï  ce moment précis, raconte l'historien André Castelot, dans son superbe Napoléon Bonaparte, que le Maréchal Moncey, gouverneur des Invalides depuis 1833, alors 'gé de quatre vingt-six ans aurait déclaré :- A présent, rentrons mourir r '

RARE Distinguished Service Order GEORGES V 1914 1918'

RARE Distinguished Service Order roi GEORGES V guerre de 1914 1918 belle facture voir scan bonne piece historique en argent emaux parfaits beau RUBAN d'epoque avec ses barrettes un peu d'histoire...... Ordre du service distingué Récompense militaire britannique, l'Ordre du service distingué (Distinguished Service Order ou DSO en abrégé) a été créé par la reine Victoria le 9 novembre 1886 en reconnaissance de services méritoires ou distingués individuels en temps de guerre. Ordre du service distingué médaille du D.S.O Décernée par Royaume-Uni Type Distinction militaire Éligibilité Militaires Décerné(e) pour service distingué de commandement Statut Toujours décernée Statistiques Création 6 septembre 1886 Ordre de préséance Médaille supérieure Ordre de l'Empire britannique Médaille inférieure Ordre royal de Victoria Barrette portée sur les uniformes C'est un ordre militaire qui ne comprend qu'un seul grade, celui de compagnon (Companion), auquel seuls les officiers supérieurs sont admissibles, généralement ï  partir du grade de lieutenant-colonel. En deçï , pour tous les grades inférieurs ï  celui de commandant (major), la Military Cross est accordée, et le DSO n'est attribué que pour une bravoure exceptionnelle, juste en deçï  de celle qui justifierait la Croix de Victoria. Il n'est attribué depuis le 1er janvier 1917 que pour bravoure sous le feu ennemi. Jusqu'en 1943, il fallait avoir reçu une citation (Mentioned in Despatch, MiD) pour recevoir l'ordre. Le DSO est ï  alors la seconde récompense militaire la plus prestigieuse, après la croix de Victoria (Victoria Cross). Les membres de l'Ordre ont le droit de porter après leur nom les initiales D.S.O. (lettres post-nominales). L'insigne de l'Ordre est une croix en or émaillée de blanc. Avers : centre en émail rouge, chargé de la couronne impériale d'or entourée d'une couronne de laurier d'émail vert. Revers : centre en émail rouge chargé du chiffre royal d'or (Royal Cypher) - propre ï  chaque souverain - dans une couronne de laurier en émail vert. Le ruban est rouge bordé de bleu. Il peut être attribué 2 fois (on dit alors DSO and bar), voire plus, avec apposition d'une barrette en or sur le ruban pour chaque nouvelle attribution[1]. La barrette unie est en or et porte la couronne impériale en son centre. L'année où elle est décernée est gravée au revers. En petite tenue, chaque barrette est représentée par une rosette sur le ruban. La première personne de l'armée britannique ï  avoir obtenu une deuxième barrette (donc 3e attribution), fut l'As de l'aviation de la Première Guerre mondiale Albert Ball. Le lieutenant-colonel Paddy Mayne, qui commanda le SAS après la capture de David Stirling, fut décoré quatre fois (DSO and 3 bars) au titre de la guerre 39-45. Durant la Seconde Guerre mondiale, le DSO a été attribué ï  870 officiers de la RAF, dont 62 avec une barrette (bar), 8 avec une seconde et 2 avec une troisième. Depuis la réforme de 1993, le DSO peut être attribué aux officiers de tout grade pour faits de commandement (command and leadership). Pour actes de courage en présence de l'ennemi, c'est désormais la Conspicuous Gallantry Cross qui est décernée aux officiers. Liste de personnes ayant reçu le DSO Ressortissants du Commonwealth : maréchal Harold Alexander, Wing Commander de la RAF John Robert Baldwin, général Peter de la Billière, général Mike Calvert (officier des Chindits puis du Special Air Service), général Adrian Carton de Wiart, Richard Casey (gouverneur général d'Australie), colonel Edmund "Trotsky" Davies (officier du SOE en Albanie), général Bernard Fergusson, Baron Ballantrae, Xan Fielding (écrivain et officier du SOE), lieutenant-colonel Brian Franks (officier du Special Air Service), général Simon Fraser (15ème Lord Lovat), général John Bagot Glubb dit Glubb Pacha (chef de la Légion arabe), maréchal John Vereker Gort (commandant du corps expéditionnaire britannique en France en 1940), maréchal John Harding, général d'aviation Lewis Hodges, général Brian Horrocks, lieutenant-colonel Sydney Hudson (officier du SOE en France puis de la Force 136), Peter Kemp (aventurier, écrivain, agent du SOE puis du MI6), général James Joseph Kingstone, général Robert Laycock (chef des opérations combinées), Patrick Leigh Fermor (écrivain voyageur et officier du SOE en Grèce), lieutenant-colonel John Masters (officier des Chindits), lieutenant-colonel Neil McLean (officier du SOE puis du MI6), général Frank Messervy, maréchal Bernard Montgomery, général Nigel Poett, maréchal William Joseph Slim, colonel Henry Abel Smith, lieutenant-colonel David Stirling (officier du Special Air Service), Bill Tilman (soldat, aventurier, alpiniste, navigateur, agent du SOE), général Philip Toosey (le véritable commandant du camp du film Le Pont de la rivière Kwaï), maréchal Henry Maitland Wilson, général Orde Charles Wingate (commandant de la force Chindits en Birmanie). Français : général Marcel Bigeard, Jacques P'ris de Bollardière (DSO and bar), général Jean Bouffet, Pierre Ch'teau-Jobert, Jean Demozay, André Dewavrin-Passy, Maurice Duthilleul, Pierre Fourcaud, Max Guedj, colonel Michel Hollard, François Ingold, maréchal Marie-Pierre KÅ"nig, maréchal Philippe Leclerc de Hauteclocque, Philippe Livry-Level, Bob Maloubier, André Malraux, Raymond Mary-Basset, Gilbert Renault, colonel Jean Stanislas Rémy, général Jean Simon. Américain : commandant Frederick Russell Burnham'

RARE commandeur de l' ORDRE de TAKOVO de SERBIE 1878'

RARE commandeur de l' ORDRE de TAKOVO de SERBIE 1878 belle piece en vermeil splendides emaux voir scan bon ruban d'epoque piece splendide et trés decorative un peu d'histoire..... ORDRE de TAKOVO Cet Ordre a été institué en 1865 par le Prince MICHEL et complété le 15 février 1878 par le Prince MILAN. Il est destiné ï  récompenser les services rendus ï  la cause de l'Indépendance et de l'Emancipation. L'Ordre comprend 5 classes : Grand - Croix, Grand - Officier, Commandeur, Officier et Chevalier. Ruban rouge liseré de blanc et bleu pour les civils ; ruban rouge pour les militaires, la croix est alors surmontée de glaives. '

RARE Distinguished Service Order GEORGES V 1914 1918'

RARE Distinguished Service Order roi GEORGES V guerre de 1914 1918 belle facture voir scan bonne piece historique en argent emaux parfaits beau RUBAN d'epoque avec ses barrettes un peu d'histoire...... Ordre du service distingué Récompense militaire britannique, l'Ordre du service distingué (Distinguished Service Order ou DSO en abrégé) a été créé par la reine Victoria le 9 novembre 1886 en reconnaissance de services méritoires ou distingués individuels en temps de guerre. Ordre du service distingué médaille du D.S.O Décernée par Royaume-Uni Type Distinction militaire Éligibilité Militaires Décerné(e) pour service distingué de commandement Statut Toujours décernée Statistiques Création 6 septembre 1886 Ordre de préséance Médaille supérieure Ordre de l'Empire britannique Médaille inférieure Ordre royal de Victoria Barrette portée sur les uniformes C'est un ordre militaire qui ne comprend qu'un seul grade, celui de compagnon (Companion), auquel seuls les officiers supérieurs sont admissibles, généralement ï  partir du grade de lieutenant-colonel. En deçï , pour tous les grades inférieurs ï  celui de commandant (major), la Military Cross est accordée, et le DSO n'est attribué que pour une bravoure exceptionnelle, juste en deçï  de celle qui justifierait la Croix de Victoria. Il n'est attribué depuis le 1er janvier 1917 que pour bravoure sous le feu ennemi. Jusqu'en 1943, il fallait avoir reçu une citation (Mentioned in Despatch, MiD) pour recevoir l'ordre. Le DSO est ï  alors la seconde récompense militaire la plus prestigieuse, après la croix de Victoria (Victoria Cross). Les membres de l'Ordre ont le droit de porter après leur nom les initiales D.S.O. (lettres post-nominales). L'insigne de l'Ordre est une croix en or émaillée de blanc. Avers : centre en émail rouge, chargé de la couronne impériale d'or entourée d'une couronne de laurier d'émail vert. Revers : centre en émail rouge chargé du chiffre royal d'or (Royal Cypher) - propre ï  chaque souverain - dans une couronne de laurier en émail vert. Le ruban est rouge bordé de bleu. Il peut être attribué 2 fois (on dit alors DSO and bar), voire plus, avec apposition d'une barrette en or sur le ruban pour chaque nouvelle attribution[1]. La barrette unie est en or et porte la couronne impériale en son centre. L'année où elle est décernée est gravée au revers. En petite tenue, chaque barrette est représentée par une rosette sur le ruban. La première personne de l'armée britannique ï  avoir obtenu une deuxième barrette (donc 3e attribution), fut l'As de l'aviation de la Première Guerre mondiale Albert Ball. Le lieutenant-colonel Paddy Mayne, qui commanda le SAS après la capture de David Stirling, fut décoré quatre fois (DSO and 3 bars) au titre de la guerre 39-45. Durant la Seconde Guerre mondiale, le DSO a été attribué ï  870 officiers de la RAF, dont 62 avec une barrette (bar), 8 avec une seconde et 2 avec une troisième. Depuis la réforme de 1993, le DSO peut être attribué aux officiers de tout grade pour faits de commandement (command and leadership). Pour actes de courage en présence de l'ennemi, c'est désormais la Conspicuous Gallantry Cross qui est décernée aux officiers. Liste de personnes ayant reçu le DSO Ressortissants du Commonwealth : maréchal Harold Alexander, Wing Commander de la RAF John Robert Baldwin, général Peter de la Billière, général Mike Calvert (officier des Chindits puis du Special Air Service), général Adrian Carton de Wiart, Richard Casey (gouverneur général d'Australie), colonel Edmund "Trotsky" Davies (officier du SOE en Albanie), général Bernard Fergusson, Baron Ballantrae, Xan Fielding (écrivain et officier du SOE), lieutenant-colonel Brian Franks (officier du Special Air Service), général Simon Fraser (15ème Lord Lovat), général John Bagot Glubb dit Glubb Pacha (chef de la Légion arabe), maréchal John Vereker Gort (commandant du corps expéditionnaire britannique en France en 1940), maréchal John Harding, général d'aviation Lewis Hodges, général Brian Horrocks, lieutenant-colonel Sydney Hudson (officier du SOE en France puis de la Force 136), Peter Kemp (aventurier, écrivain, agent du SOE puis du MI6), général James Joseph Kingstone, général Robert Laycock (chef des opérations combinées), Patrick Leigh Fermor (écrivain voyageur et officier du SOE en Grèce), lieutenant-colonel John Masters (officier des Chindits), lieutenant-colonel Neil McLean (officier du SOE puis du MI6), général Frank Messervy, maréchal Bernard Montgomery, général Nigel Poett, maréchal William Joseph Slim, colonel Henry Abel Smith, lieutenant-colonel David Stirling (officier du Special Air Service), Bill Tilman (soldat, aventurier, alpiniste, navigateur, agent du SOE), général Philip Toosey (le véritable commandant du camp du film Le Pont de la rivière Kwaï), maréchal Henry Maitland Wilson, général Orde Charles Wingate (commandant de la force Chindits en Birmanie). Français : général Marcel Bigeard, Jacques P'ris de Bollardière (DSO and bar), général Jean Bouffet, Pierre Ch'teau-Jobert, Jean Demozay, André Dewavrin-Passy, Maurice Duthilleul, Pierre Fourcaud, Max Guedj, colonel Michel Hollard, François Ingold, maréchal Marie-Pierre KÅ"nig, maréchal Philippe Leclerc de Hauteclocque, Philippe Livry-Level, Bob Maloubier, André Malraux, Raymond Mary-Basset, Gilbert Renault, colonel Jean Stanislas Rémy, général Jean Simon. Américain : commandant Frederick Russell Burnham'

RARE commandeur de l' ORDRE de TAKOVO de SERBIE 1878'

RARE commandeur de l' ORDRE de TAKOVO de SERBIE 1878 belle piece en vermeil splendides emaux voir scan bon ruban d'epoque piece splendide et trés decorative un peu d'histoire..... ORDRE de TAKOVO Cet Ordre a été institué en 1865 par le Prince MICHEL et complété le 15 février 1878 par le Prince MILAN. Il est destiné ï  récompenser les services rendus ï  la cause de l'Indépendance et de l'Emancipation. L'Ordre comprend 5 classes : Grand - Croix, Grand - Officier, Commandeur, Officier et Chevalier. Ruban rouge liseré de blanc et bleu pour les civils ; ruban rouge pour les militaires, la croix est alors surmontée de glaives. '

RARE CROIX LEGION D'HONNEUR NAPOLEON 1er 4éme type'

rare et belle CROIX LEGION D'HONNEUR NAPOLEON 1er 4éme type bonne piece dans son jus EN ARGENT et CENTRE EN OR beaux emaux voir scan bon ruban d'epoque un peu d'histoire...... LA DÉCORATION REFLET DE CES ÉVOLUTIONS POLITIQUES Fluctuations dans la symbolique La loi du 19 mai 1802 ne concevait la Légion d'honneur que comme une distinction honorifique. Il faut attendre le décret du 22 messidor an XII pour que la forme de l'insigne soit fixée. Mais cette dernière va évoluer en fonction des régimes. Sous l'Empire : A l'imitation de l'ordre de Saint-Louis, l'insigne comporte une étoile (mais ï  cinq rayons doubles), émaillée de blanc, entourée d'une couronne de chêne et de laurier.Elle porte ï  l'avers l'effigie de l'Empereur avec pour légende "Napoléon Empereur des Français" et au revers l'aigle et la foudre avec la devise "Honneur et Patrie".La décoration est en or pour les grands officiers, en argent pour les légionnaires. Cette étoile est communément appelée "aigle". En avril 1806 la décoration est surmontée d'une couronne impériale. Lettre du chancelier de la première cohorte au préfet du département de la Marne, le prévenant que la décoration sera dorénavant surmontée d'une couronne impériale, 18 avril 1806.Archives départementales de la Marne14M1 Quatre décorations d'aigle d'or représentant chacune l'un des quatre types qui existaient sous le Premier Empire, avers.Musée national de la Légion d'honneur - Paris Quatre décorations d'aigle d'argent représentant chacune l'un des quatre types qui existaient sous le Premier Empire, avers.A partir d'avril 1806, on ajoute une couronne ï  palmettes (2ème type), puis ï  fleurons (3ème et 4ème types) formant la bélière.Musée national de la Légion d'honneur - Paris Quatre décorations d'aigle d'argent représentant chacune l'un des quatre types qui existaient sous le Premier Empire, revers.Musée national de la Légion d'honneur - Paris Légion d'honneur. Premier Empire, 3ème type. Musée Saint Remi Sous la Restauration :La couronne impériale devient une couronne ï  fleur de lys et la décoration est désignée sous le nom d' "étoile". A l'avers Napoléon est remplacé par Henri IV avec en exergue "Henri IV roi de France et de Navarre".Au revers trois fleurs de lys se substituent ï  l'aigle et en exergue "Honneur et Patrie". Insigne d'officier de la Légion d'honneur sous la Restauration, avers et revers.Musée national de la Légion d'honneur - Paris Légion d'honneur avec fleur de lys. Période de la Restauration.Musées de Ch'lons-en-Champagne (Musée Garinet) Sous la Monarchie de Juillet :La décoration prend le nom de "croix" et la couronne bélière abandonne ses fleurs de lys.A l'avers l'effigie d'Henri IV est conservée et au revers apparaissent des drapeaux tricolores entrecroisés avec le maintien de la devise "Honneur et Patrie". Légion d'honneur. Période de la Monarchie de Juillet.Musées de Ch'lons-en-Champagne (Musée Garinet) Sous la IIème République :La bélière est supprimée.A l'avers Bonaparte est représenté en tant que fondateur de l'ordre avec en exergue "Bonaparte Ier Consul, 19 mai 1802".Au revers : pas de changement. Sous le Second Empire :Napoléon III reprend la représentation du Premier Empire. Légion d'honneur. Second Empire. Croix de commandeur de la Légion d'honneur, 1870. Drapeaux et devise. Revers.Musée Saint Remi Sous les IIIème, IVème et Vème République :La décoration comprend une couronne de chêne et de laurier pour bélière et une personnification de la République sous la forme de Cerès avec en exergue ï  l'avers "République française 1870" (date qui sera abandonnée en 1951). Le revers reste identique ï  ce qu'il était précédemment. Insigne de chevalier actuel revers et avers.Musée national de la Légion d'honneur - Paris Légion d'honneur. IIIème République.Collection privée Légion d'honneur. Vème République. Croix avec rosette d'officier. Modèle actuel, 1975, avers.Collection particulière Légion d'honneur. Vème République. Croix avec rosette d'officier. Modèle actuel, 1975, avers.Collection particulière Le foulard "Légion d'honneur" symbolise l'histoire de l'Institution depuis sa création le 19 mai 1802 jusqu'ï  nos jours. En son centre la plaque de grand'croix (modèle actuel), dignité la plus élevée de l'Ordre et disposés sur le ruban de moire rouge les centres des principaux modèles des insignes depuis leur création : profil de Napoléon 1er et aigle impériale (avers et revers des modèles du Premier et Second Empire), les fleurs de lys (revers de la Restauration) et les drapeaux entrecroisés, revers de la Monarchie de Juillet et actuel. Ces médaillons alternent avec le chiffre du fondateur de l'Ordre. Le foulard peut être acquis auprès du Musée national de la Légion d'honneur et des ordres de chevalerie. Foulard de la Légion d'honneur créé pour le bicentenaire de la Légion d'honneur.Archives municipales de Reims '

belle medaille belge'

belle medaille belge croix de feu 1914-1918 ruban rouge et bleu croix avec au centre 1casque de poilu avec un manche de baionette a l'arriere plan un canon et un soleil deuxieme face couronne avec croix feuilles de houx salus patria supremalex 1914 1918 medaille en bon la medaille est la meme que la precedente mais les motif sont plus petit peut etre pas la meme fonderie pour la belgique 3,20 de frais de poste pour la france 6,00 pour le reste de l'europe prendre contact avant encheres'

Epée du lord du Dragon'

Epée neuve de lords du dragon encore en boite'

BELGIQUE: ENSEMBLE DE DIMINUTIFS 1914/1918'

WWI - 1914/1918 BELGIQUE: ENSEMBLE DE DIMINUTIFS 1914/1918 A SAVOIR CROIX DE CHEVALIER DE L'ORDRE DE LEOPOLD / CROIX DE CHEVALIER DE L'ORDRE DE LA COURONNE / CROIX DE CHEVALIER DE L'ORDRE DE LEOPOLD II / CROIX DE GUERRE 14/18 / MEDAILLE DE LA VICTOIRE / MEDAILLE COMMEMORATIVE 14/18 / MEDAILLE DU VOLONTAIRE DE GUERRE 14/18 / CROIX DU FEU / MEDAILLE DE L'YSER, CHAQUE DIMINUTIF EST PRESENTE AVEC SON RUBAN D'ORIGINE, ENSEMBLE EN BON ETAT, RARE !!!!!. FRAIS DE PORT BELGIQUE: 3,00EURO OU 8,70EURO (ENVOI EN RECOMMANDE) FRAIS DE PORT RESTE DU MONDE: 6,90EURO SHIPPING WORLDWIDE: 6,90EURO SHIPPING WORLDWIDE WITH TRACKING NUMBER: 11,90EURO INTERNATIONAL BIDDER ARE WELCOME'

belle medaille belge ww1'

belle medaille blege ww1 bataille de l'yser ruban noir et rouge medaille ronde medaille en bon etat pour la belgique 3,20 de frais de poste pour la france 6,00 pour le reste de l'europe prendre contact avant encheres'

lint met embleem , ONBEKEND'

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rare INSIGNE TISSU DU JAMBOREE de 1947 insigne GENERAL'

rare INSIGNE TISSU DU JAMBOREE de 1947 insigne GENERAL 100% originale parfait état fabrication de la maison DANTHONY ï  ST ETIENNE un peu d'histoire ..... INSIGNE GENERAL(sans talon) Il y eut 26 insignes officiels, dont voici la liste par ordre alphabétique : ALGERIE - ALSACE - ANJOU - AQUITAINE - AUVERGNE - BOURGOGNE - BRETAGNE - CHAMPAGNE - C.M. - DAUPHINE - EXTENSION - FLANDRES - LANGUEDOC - LORRAINE - MAITRISE - MARINS - NORMANDIE - PASSEREAUX - PROVENCE - SAVOIE - SERVIR - ZODIAQUE (3 types : talon blanc sur rouge - rouge sur blanc) - blanc sur bleu) - GENERAL (sans talon) - ACCUEIL (lys sur fond bleu ovale). Nous vous montrons aussi deux jolies pièces, la médaille bronze, et la boucle de ceinturon. En 1947, eut ainsi lieu le premier grand rassemblement d'après guerre des scouts du monde. Ce jamboree sera appelé "Jamboree de la paix" et sera placé sous l'égide, le patronage du fondateur et chef éternel du Scoutisme Lord Robert Baden-Powell, décédé ï  Niéry au Kenya en 1941. Ce Jamboree fut une fête extraordinaire, rassemblant tous les scouts du monde, ennemis d'hier, de religions différentes, autour d'un même feu, symbole de la grande fraternité scoute, mais les hauts parleurs furent une innovation peu appréciée. A l'occasion du jamboree est publié le recueil Les Chansons du Jamboree, plus connu sous le nom de Chansonnier de Moisson, dont les co-auteurs, Jacques Chailley, William Lemit et César Geoffray sont issus des EDF et SDF. L'affiche officielle du Jamboree est de Max Ingrand (et peut-être d'autres éléments graphiques du jamboree le sont aussi). Sur 600 hectares les sous-camps, portant des noms de provinces françaises, mélangeaient les nationalités : les scouts des États-Unis furent ainsi répartis en 5 sous-camps. Dans l'ïle campaient 500 scouts marins de tout pays sur une ïle de la Seine qui bordait le camp. Naturellement, elle avait été rebaptisée « l'ïle de la tortue » et leur était réservée. Ce sous camp spécial était dirigé par un "capitaine de port" Pierre-Yves Labbe. Les scouts des Indes célébrèrent l'indépendance de leur pays. Les compétitions figurent au programme. La marche finale s'effectue selon le modèle d'un nÅ"ud de carrick, le symbole du Jamboree. A la cérémonie d'ouverture, les scouts défilent par pays; lors de la clôture, chaque sous-camp porte ï  sa tête les nombreux drapeaux et bannières des scouts de tous les pays représentés dans son sous-camp. Pour le gouvernement français, qui aida et finança largement le projet, le déroulement du Jamboree permettait d'affirmer le retour de la France sur la scène internationale, d'où la visite du Président de la République d'alors, Vincent Auriol. L'organisation du jamboree, placée sous la direction de son Commissaire général Henri Van Effenterre (relations extérieures) et du Chef de Camp Eugène Arnaud (questions matérielles), nécessita un travail énorme et une logistique digne des plus grands évènements historiques, allant jusqu'ï  la création d'une gare spéciale pour le jamboree et un appontement sur la Seine pour les scouts marins. L'évènement eut son journal quotidien: Jamboree France. 24.152 scouts furent présents ï  Moisson et le chef de la délégation française était Maurice Costil (EUF). Le jamboree eut lieu sur un immense terrain appartenant ï  la famille Lebaudy (sucre), formant une boucle de la Seine. La nature du terrain engendra un inconvénient qui fit connaitre ce jam sous le nom de Jamboree de la poussière. Affiche officielle du jamboree Activités L'arrivée des délégations et l'installation du camp se déroulèrent du 6 au 8 août. Programme donné dans le numéro spécial du Figaro : samedi 9 août : Cérémonie d'accueil ï  l'Arène - Défilé des nations dimanche 10 août : Inauguration des spectacles lundi 11 août : Visite des enfants des écoles et des louveteaux mardi 12 août : Tournois de patrouilles dans les sous-camps mercredi 13 août : Tournois de patrouilles ï  l'Arène jeudi 14 août : Visite du Président de la République et du Corps diplomatique vendredi 15 août : Démonstration du scoutisme marin samedi 16 août : Démonstration du scoutisme de l'air - Fête de nuit ï  l'Arène dimanche 17 août : Visite des associations féminines lundi 18 août : Cérémonie des adieux ï  l'Arène Les journées des 19, 20 et 21 août permirent aux délégations étrangères de visiter Paris et l'Ile-de-France, avant le démontage du camp. En parallèle eut lieu la Conférence mondiale de 1947 au ch'teau de Rosny, tout proche du Jam'.'

ordre Royal Saint Louis Or Gold XIX siècle'

Ordre Royal de Saint Louis, XIX siècle en orpoids : 15 grammesÉmail grand feu, ruban et montage d'origine'

Mérite Civique de la Concession Française de Changhaï'

RARE Mérite Civique de la Concession Française de Changhaï de la plus grande rareté belle facture voir scan 100% originale beau RUBAN d'epoque un peu d'histoire..... Mérite Civique de la Concession Française de Changhaï 3 grades : or, argent et bronze (Décerné par la municipalité de la Concession Française de Changhaï - Période des années 1920) L'ancienne concession française : bref historique Quelques milliers de Français prirent part au façonnement de cette partie de la cité de Shanghai qu'on a appelée pendant un siècle la « Concession française » - où vivaient dans les années 1920 quelque 250.000 Chinois, l'équivalent alors de la population lyonnaise'€¦ Le 20 mai 1847 Charles de Montigny embarqua avec sa famille ï  bord du Duguay-Trouin en partance pour Shanghai pour y établir un Consulat françaiset négocier avec les Chinois l'établissement d'une concession, territoire sur lequel s'exercerait le droit français et où les Français eux-mêmes pourraient acquérir des biens immobiliers. Trois ans auparavant, M. de Montigny avait accompagné l'émissaire du roi Louis-Philippe pour la signature du traité de Whampoa par lequel les puissances de l'époque '€"Etats Unis, Royaume Uni, France- avaient obtenu l'ouverture de cinq ports chinois -dont Shanghai- au commerce étranger et le droit pour leurs ressortissants d'y élire domicile. Archives diplomatiques Les premières limites de la concession françaises furent établies en 1849. Le Consul et sa famille s'installèrent au bord du Whangpoo, dans une maison située dans les terrains vagues qui s'étendaient entre la concession anglaise, déjï  installée depuis six ans, et la ville fortifiée chinoise. Le Yang King Pang, ruisseau affluent du Whangpoo, séparait les Anglais au Nord des Français au Sud. M. de Montigny fit de cette zone désolée la concession française. Ni jardins, ni rizières dans les terres concédées aux Français : des marécages inhabités, voilï  ce qu'était la concession française ï  ses débuts. En 1862, il existait trois concessions ï  Shanghai : la concession anglaise -la plus ancienne- et les concessions américaine et française. Les Anglais et les Américains avaient pour projet de réunir les trois concessions dont les traditions d'administration étaient jusque lï  totalement différentes afin de former une seule et même concession, plus cohérente, plus puissante et donc plus riche. Mais les Français refusèrent cette proposition et menèrent une « guerre d'indépendance » contre les autres concessions qui finirent par se regrouper pour former une concession internationale. Au milieu du 19e siècle, la colonie française ne comptait qu'une dizaine de personnes. En 1880, elle regroupait 33.660 habitants, dont 33.330 Chinois et quelques 330 « étrangers ». Vingt ans après, en 1900, la population avait triplé. La concession elle-même s'agrandit : des 66 hectares initiaux, elle passa ï  144 en 1900. En 1906, la première ligne de tramway fut ouverte. Jusqu'en 1940, Shanghai connut un développement spectaculaire. Le domaine français gagna du terrain, les ruisseaux furent comblés et de grandes avenues furent construites. Après la Grande Guerre, la concession française était ï  son apogée. Magasins de mode, boutiques de luxe, épiceries fines, salons de thé proclamaient sa fortune. L'essor démographique se poursuivit : en 1934, la concession comptait plus d'habitants que la ville de Lyon. Elle s'organisa d'ailleurs comme une vraie ville avec ses églises, ses écoles, ses hôpitaux, ses banques, sa prison, son cimetière et'€¦ ses maisons closes. L'automobile fit également son entrée : 4.026 voitures circulaient dans la concession en 1931 contre contre 2 seulement en 1909. Le développement de la concession française fut témoin des péripéties sanglantes de l'histoire chinoise sans pour autant être directement touchée, que ce soit les conflits entre nationalistes et communistes chinois, les bombardements japonais ou l'occupation de la ville chinoise par l'armée nippone. D'un côté les belligérants évitaient tout conflit sur les territoires des concessions, de l'autre les autorités françaises veillaient au respect de sa neutralité. Cette sérénité attira des populations migrantes comme les Russes fuyant le régime léniniste ou les Juifs d'Europe sous la seconde guerre mondiale, période trouble qui ne fit qu'effleurer la concession française. A cette époque, ceux qui n'avaient pas rejoint le général de Gaulle restèrent sous la tutelle lointaine du régime de Vichy. Suivirent ensuite de graves incidents avec les Japonais, entre Français eux-même et les prémices du démantèlement colonial. L'entrée des troupes de Mao en 1949 mit un terme définitif ï  la concession. Marie-Laure des Dorides . Le 03-avr.-11 ï  19:09:54 Paris, le vendeur a ajouté les informations suivantes :module argent taille reglementaire'

rare INSIGNE TISSU DU JAMBOREE de 1947 insigne GENERAL'

rare INSIGNE TISSU DU JAMBOREE de 1947 insigne GENERAL 100% originale parfait état fabrication de la maison DANTHONY ï  ST ETIENNE un peu d'histoire ..... INSIGNE GENERAL(sans talon) Il y eut 26 insignes officiels, dont voici la liste par ordre alphabétique : ALGERIE - ALSACE - ANJOU - AQUITAINE - AUVERGNE - BOURGOGNE - BRETAGNE - CHAMPAGNE - C.M. - DAUPHINE - EXTENSION - FLANDRES - LANGUEDOC - LORRAINE - MAITRISE - MARINS - NORMANDIE - PASSEREAUX - PROVENCE - SAVOIE - SERVIR - ZODIAQUE (3 types : talon blanc sur rouge - rouge sur blanc) - blanc sur bleu) - GENERAL (sans talon) - ACCUEIL (lys sur fond bleu ovale). Nous vous montrons aussi deux jolies pièces, la médaille bronze, et la boucle de ceinturon. En 1947, eut ainsi lieu le premier grand rassemblement d'après guerre des scouts du monde. Ce jamboree sera appelé "Jamboree de la paix" et sera placé sous l'égide, le patronage du fondateur et chef éternel du Scoutisme Lord Robert Baden-Powell, décédé ï  Niéry au Kenya en 1941. Ce Jamboree fut une fête extraordinaire, rassemblant tous les scouts du monde, ennemis d'hier, de religions différentes, autour d'un même feu, symbole de la grande fraternité scoute, mais les hauts parleurs furent une innovation peu appréciée. A l'occasion du jamboree est publié le recueil Les Chansons du Jamboree, plus connu sous le nom de Chansonnier de Moisson, dont les co-auteurs, Jacques Chailley, William Lemit et César Geoffray sont issus des EDF et SDF. L'affiche officielle du Jamboree est de Max Ingrand (et peut-être d'autres éléments graphiques du jamboree le sont aussi). Sur 600 hectares les sous-camps, portant des noms de provinces françaises, mélangeaient les nationalités : les scouts des États-Unis furent ainsi répartis en 5 sous-camps. Dans l'ïle campaient 500 scouts marins de tout pays sur une ïle de la Seine qui bordait le camp. Naturellement, elle avait été rebaptisée « l'ïle de la tortue » et leur était réservée. Ce sous camp spécial était dirigé par un "capitaine de port" Pierre-Yves Labbe. Les scouts des Indes célébrèrent l'indépendance de leur pays. Les compétitions figurent au programme. La marche finale s'effectue selon le modèle d'un nÅ"ud de carrick, le symbole du Jamboree. A la cérémonie d'ouverture, les scouts défilent par pays; lors de la clôture, chaque sous-camp porte ï  sa tête les nombreux drapeaux et bannières des scouts de tous les pays représentés dans son sous-camp. Pour le gouvernement français, qui aida et finança largement le projet, le déroulement du Jamboree permettait d'affirmer le retour de la France sur la scène internationale, d'où la visite du Président de la République d'alors, Vincent Auriol. L'organisation du jamboree, placée sous la direction de son Commissaire général Henri Van Effenterre (relations extérieures) et du Chef de Camp Eugène Arnaud (questions matérielles), nécessita un travail énorme et une logistique digne des plus grands évènements historiques, allant jusqu'ï  la création d'une gare spéciale pour le jamboree et un appontement sur la Seine pour les scouts marins. L'évènement eut son journal quotidien: Jamboree France. 24.152 scouts furent présents ï  Moisson et le chef de la délégation française était Maurice Costil (EUF). Le jamboree eut lieu sur un immense terrain appartenant ï  la famille Lebaudy (sucre), formant une boucle de la Seine. La nature du terrain engendra un inconvénient qui fit connaitre ce jam sous le nom de Jamboree de la poussière. Affiche officielle du jamboree Activités L'arrivée des délégations et l'installation du camp se déroulèrent du 6 au 8 août. Programme donné dans le numéro spécial du Figaro : samedi 9 août : Cérémonie d'accueil ï  l'Arène - Défilé des nations dimanche 10 août : Inauguration des spectacles lundi 11 août : Visite des enfants des écoles et des louveteaux mardi 12 août : Tournois de patrouilles dans les sous-camps mercredi 13 août : Tournois de patrouilles ï  l'Arène jeudi 14 août : Visite du Président de la République et du Corps diplomatique vendredi 15 août : Démonstration du scoutisme marin samedi 16 août : Démonstration du scoutisme de l'air - Fête de nuit ï  l'Arène dimanche 17 août : Visite des associations féminines lundi 18 août : Cérémonie des adieux ï  l'Arène Les journées des 19, 20 et 21 août permirent aux délégations étrangères de visiter Paris et l'Ile-de-France, avant le démontage du camp. En parallèle eut lieu la Conférence mondiale de 1947 au ch'teau de Rosny, tout proche du Jam'.'

ordre Royal Saint Louis Or Gold XIX siècle'

Ordre Royal de Saint Louis, XIX siècle en orpoids : 15 grammesÉmail grand feu, ruban et montage d'origine'

rare INSIGNE TISSU DU JAMBOREE de 1947 AUVERGNE'

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